>Gladys attendit que le chauffeur du taxi vienne lui ouvrir la portiere pour bouger.

>Gladys attendit que le chauffeur du taxi vienne lui ouvrir la portiere pour bouger.

Elle ne descendit pas tout de suite et le laissa attendre debout dans le trottoir, le temps de penser au revoir a son amie restee a l’interieur pour se Realiser reconduire chez i§a.

– « Ma cherie je te laisse, on se voit samedi pour le diner, tel prevu! – Entendu. A Samedi. Je n‘amene rien de particulier ? » exige Edwige apres une chaleureuse embrassade . – Non, inutile d’apporter quoi que ce soit, tu sais bien, ils font tout votre qu’il va falloir a la maison! A moins que tu preferes utiliser tes instruments habituels. C’est comme tu veux, mais n’oublie jamais t’amener ton mari, evidemment! » . Les deux jeunes femmes echangerent un clin d’?il complice et eclaterent de rire en meme moment. – « Oh ca ne risque pas! Nous serons la pour dix neuf heures. J‘ai hate d‘y etre » repondit Edwige en se tortillant d’impatience sur la banquette au milieu des paquets. Gladys descendit de la voiture et, sans meme regarder le chauffeur, lui glissa un billet de dix euros qu‘elle lui tendit negligemment entre deux doigt gantes de dentelle noire. Elle ne pris bikerplanet algorithme nullement la peine de l’entendre la remercier, claquant deja des pompes aiguille vers la a d’entree de sa maison. Ce n’etait gui?re du mepris, ni de l’arrogance mais votre inclinaison naturelle a dominer ses themes… de preference masculins. Elle traversa l’allee du jardin d’une demarche onduleuse, balancant dans chaque main des grands sacs imprimes aux marques de son shopping en journee. Elle gravit d’un nullement alerte les trois marches du perron. Notre a n’etait jamais fermee a cle. Cela etait environ dix neuf heure,t il y avait au moins quelqu’un de rentre. Notre respect des horaires fixes n’etait gui?re la moindre de l’ensemble de ses exigences. Ce ne pouvait etre que Patricia. A l’inverse de son fils ainsi que son mari, sa fille faisait toujours preuve d‘une irreprochable ponctualite.

Gladys est une excellente femme plantureuse, de celle que l’on dit dans la fleur de l‘age, proche d’une cinquantaine, triomphante.

Femme de caractere, au physique avantageux, elle portait haut, dominant, ainsi, degageait une impression d’autorite naturelle qui inspirait d’emblee le respect. Heritiere d’une famille relativement aisee, fin de branche d’une aristocratie militaire tombee en desuetude et en perte de notabilite, elle avait subit une education rigoureuse sous la ferule d’un pere intransigeant . C’est probablement par phenomene de compensation qu’elle avait decide de renverser votre rapport de force a l’avantage du sexe pretendu faible. J’ai formule ridicule etait loin de correspondre a sa personnalite.et encore moins en rapport avec le temperament de femme forte. Elle avait transmis a sa fille, le sens naturel de l’autorite qu’elle exercait en particulier concernant son fils Robin et Edouard, le second mari, soumis quotidiennement a une stricte et severe discipline domestique. Une seule technique, radicale mais efficace, l‘emploi systematique une fessee, justifie avec des raisons educatives d’epanouissement du corps et de l’esprit.

Sa fille, Patricia, vingt quatre annees passes, vivait toujours sous le aussi toit, moyen de terminer ses etudes. J’ai jeune soeur cohabitait sans probleme et disposait de son emploi du temps comme cette dernii?re le voulait tout en respectant les horaires et les contrainte elementaires qu’imposait le quotidien de famille. Consciencieusement initiee, par l’experience de sa propre tante, aux techniques bienfaisantes d’une fessee , elle se revelait une correctrice acharnee naturellement dotee d’une belle et cuisante force de frappe. Elle fessait presque autant et aussi fort, que sa propre maman. Il ne lui manquait i  nouveau que tenir la distance i  propos des fessees longue duree. Simple question de technique qu’elle s’appliquait a ameliorer avec une pratique reguliere.

Trả lời

Email của bạn sẽ không được hiển thị công khai. Các trường bắt buộc được đánh dấu *